« Je me suis battu contre ce diagnostic pendant deux mois. Puis, j'ai compris. Si on est déjà prédisposé à la maladie mentale, un traumatisme, comme ma coupure au cou, pouvait provoquer une onde de choc, un trouble de stress post-traumatique. J'ai alors compris que j'étais malade, pas un faible. Et que je ne pouvais pas m'en sortir tout seul. »
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